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Classement
de la 3e étape -
Classement
général
Pierrick Fédrigo, vainqueur de la 1ère étape, a remporté le Critérium International à l'issue du contre-la-montre, dimanche. De son côté, Pierre Rolland s'était assuré un peu plus tôt le maillot à pois d'une épreuve que la Bbox Bouygues Telecom aura marqué de son empreinte.
L'équipe Bbox Bouygues Telecom a connu un week-end de rêve sur le Critérium International. Après son succès magnifique au sommet du col de l'Ospedale lors de la 1ère étape, samedi, Pierrick Fédrigo a parfaitement gérer son dimanche pour enlever le classement général. Le Marmandais a conforté son avance sur l'étape en ligne matinale, un parcours de 75 kilomètres autour de Porto Vecchio, avant de sceller sa victoire grâce à son 12e temps sur le chrono de l'après-midi, sur un tracé de 7,7 kilomètres autour de la même cité corse. Fédrigo s'impose finalement de 14 secondes devant Michael Rogers au classement général.
"Je suis comme un gamin. Ca fait du bien. Depuis le début de saison, je tournais autour avec des places d'honneur mais je n'étais jamais là pour vraiment (conclure). Il faut savoir patienter. Dans le contre-la-montre, je n'ai pas géré du tout. Je n'avais pas d'oreillette, elle déconnait au départ, je l'ai enlevée. Sur sept kilomètres, il ne faut pas calculer, c'est la volonté. J'avais repéré trois ou quatre fois le circuit. Après ça passe ou ça casse, c'est passé !", a déclaré Fédrigo à l'AFP arpès sa victoire.
Pour l'équipe vendéenne, le triomphe est total puisque le Marmandais s'est aussi adjugé le classement par points, tandis que Pierre Rolland fait également parti des lauréats de ce Critérium International. Le coureur de la Bbox Bouygues Telecom a en effet remporté le classement du meilleur grimpeur après avoir été échappé sur l'étape de samedi. Le printemps débute très bien pour la formation vendéenne, qui avait également signé une belle victoire d'étape sur Paris-Nice grâce à William Bonnet. Avec le plateau royal présent sur le Critérium International, la victoire de l'équipe de Jean-René Bernaudeau n'en prend que plus de valeur.
